Comme une ode à la féminité, ses nus aux accents marqués par le cubisme sont majestueux, généreux, sculpturaux. Assis ou étendus, les formes modelées par la couleur, les nus de Jean Chevolleau sont d’une grande puissance colorée où règne en même temps un trait vigoureux.
Mon premier souci est bien celui de construire et reconstruire.
Nu Allongé
1974 (92 X 65)
La chambre grise
1972 (162X130)
Nu à la Lumière Rouge
1994 (116 X 89)
Les modèles à la chambre rouge
1971 (93X74)
Nu assis
1979 (81X116)
Femme à la fenêtre
1952 (92X73)
Nu à la lecture
1970 (63X46)
Nu allongé
1953 (24X38)
Nu sur la plage crayon et pastel
(53X35)
Nu au fauteuil noir
1992 (81X116)
Nu au divan rouge
1971 (116X89)
Nu au canapé
1972 (73X60)
Nu allongé
1977 (65X50)
Nu à la lumière ocre
1972 (47X33)
Le peintre et les modèles
1971 (146X97)
Le lit défait
1983 (162X130)
Le lit défait
1983 (73X54)
Isabelle au miroir
1983 (116X54)
Elsa au miroir
1987 (116X81)
Elsa au miroir
1987 (26X18)